Lundi 13 mai 1 13 /05 /Mai 15:21

 

 

 

Nous étions au collège en classe de troisième et nous avions donc 14, 15 ans quand la Prof d’histoire nous annonça qu’elle allait nommer des binômes de travail afin de faire un exposé sur un sujet choisi au hasard sur l’ensemble du programme scolaire abordé cette année.

 

C’est Sébastien qui fût désigné pour être en binôme avec moi aussi nous décidâmes de travailler sur notre exposé dont le sujet tiré au sort était « Jean Moulin et la résistance », le mardi soir après les cours.

 

Après deux bonnes heures de travail on s’accorda une petite pause afin de souffler et de se rafraîchir.

Je profitais de cette pause pour regarder les jeux de console rangés sur les étagères du meuble télé et je demandais à Sébastien si on pouvait se faire une petite partie.

Il hésita un peu puis accepta. Absorbés par le jeu nous ne vîmes pas le temps passé et c’est l’arrivée de la mère de Seb rentrant du travail qui nous sorti du monde virtuel.

 

« Alors les enfants, votre exposé est fini ? » demanda la mère de Sébastien

« Euh…c’est-à-dire que…pas tout à fait. » avoua mon ami.

« Comment-ça ? » s’énerva sa mère, « tu sais que le travail passe avant le jeu.» continua-t-elle

« Oui bien sûr mais on s’accordait juste une pause et on n’a pas vu le temps passé. » s’excusa Sébastien

« Pas d’excuses, tu sais ce que tu mérites en cas de désobéissance ? »

« Oui Maman. » répondit Seb en baissant les yeux

 

Je ne compris pas tout de suite ce qui se passait en voyant la mère de mon ami placé une chaise au milieu du salon et s’asseoir dessus, ce ne fut qu’en voyant mon copain s’approcher de sa mère en regardant ses pieds que je compris ce qui allait se passer même si je ne pouvais croire que mon ami allait recevoir une fessée devant moi à 14 ans et pourtant, je le vis bien se coucher en travers des cuisses de sa mère.

Sans attendre, les premières claques tombèrent sur le pantalon de survêtement de mon pote et le moins que l’on puisse dire c’est que même si elle ne paie pas de mine avec son corps de femme, cadre dynamique d’une quarantaine d’année, d’un mètre soixante-quinze pour soixante kilos, la mère de mon pote ne ménageait pas ses efforts et les claques tombaient fortes et rapides.

Je fus encore plus surpris lorsque sa mère entreprit de faire glisser le bas de survêtement de mon ami jusqu’au milieu de ses cuisses avant de reprendre la fessée sur le tissu léger du shorty de son fils.

Les claques remontaient le tissu du caleçon et je pouvais apercevoir un peu de peau rougie sur le haut des cuisses et le bas des fesses de mon pote.

Autant dire que je restais bouche bée lorsque je vis la mère de mon pote se saisir de l’élastique du caleçon de son fils pour lui faire rejoindre le bas de jogging et finir par ôter complètement les deux étoffes.

Mes yeux se fixèrent un moment sur les fesses glabres et musclées de mon ami qui se remit à gémir sous la main punitive maternelle.

Je pouvais également apercevoir ses testicules plaqués contre la cuisse de sa mère et sa queue qui semblait être aussi raide que la mienne.

Sébastien ne pouvait s’empêcher de bouger les jambes sous les coups de sa mère et ses mouvements désordonnés me dévoilait son entre fesse sans aucun poil ainsi que l’anneau plissé de son anus fermé.

 

Le calme revint d’un coup dans la pièce, mon ami glissa des genoux de sa mère, se frotta les fesses puis se releva avant de ramasser ses vêtements et de se rhabiller ce qui me permis de vérifier que cette fessée avait mis la verge de mon ami au garde à vous tout comme la mienne que je sentais essayer de craquer les épaisseurs de tissus qui la recouvraient afin de jaillir au grand jour.

 

Nous remontâmes travailler encore un peu mais la concentration tardait à me revenir, mon esprit restait bloquer sur ce qui venait de se passer et le trouble m’envahi, perdu entre l’envie d’être à la place de mon ami et la peur d’avoir mal.

 

Voyant bien que je n’étais plus avec lui par la pensée, c’est Sébastien qui décida qu’il était temps de s’arrêter.

 

« Ecoute,  je ne sais pas ce que t’en penses, mais vaudrait mieux continuer demain après-midi si tu peux. »

 

Rendez-vous fût donc pris pour le lendemain, mercredi, à 14h00.

 

Cette image de Sébastien en travers des genoux de sa mère ne cessait d’envahir mes pensées et le sommeil se refusait à moi. Je tournais dans mon lit, cherchant la position qui m’aiderait à m’endormir mais la fessée m’obsédait, qu’avait-il ressentit exactement entre le plaisir visible à sa  queue dressée et la douleur indéniable vu la couleur et la chaleur de ses fesses.

A force de bouger avec ces idées dans ma tête, je sentis ma bite se dresser dans mon pyjama et je ne résistais pas à l’envie de me masturber qui me donnait des fourmis dans les mains. Je baissais mon pyjama, repoussais les draps au pied du lit et en quelques va-et-vient sur ma verge érigée je crachais mon jus épais et gluant sur mon ventre.

 

Le lendemain midi, après le collège, je rentrai chez moi pour manger puis j’allai rejoindre Seb chez lui.

 

Sébastien m’ouvrit la porte, il avait revêtu sa tenue d’intérieur, petit short de sport et T-shirt, pieds nus. Je me déchaussai dans l’entrée et le suivi dans sa chambre. Son petit short laissait apparaître les traces encore visible de sa fessée d’hier aussi je ne pus m’empêcher de remettre ça sur le tapis.

 

« Je voulais te dire, pour hier, je suis vraiment désolé que ça se soit passé comme ça. »

« Oh, t’inquiète pas c’est rien, ce n’est pas ma première. »

« Non je me doute mais ça avait l’air de faire mal. »

« Oui bien sûr sinon ça ne servirait à rien et puis je l’avais mérité.

 « Oui peut-être mais on était deux dans ce cas. »

« Comment ça ? »

« Bah oui on était deux à jouer à la console et tu es le seul à avoir été puni »

« Pourquoi tu dis ça ? t’aurais aimé en prendre une ? »

« Non, enfin euh… si, peut-être, disons que ça aurait été plus juste. »

« Ma mère n’a surement pas osé, elle ne te connait pas mais t’auras qu’à lui demander quand elle va rentrer, elle ne te dira pas non, enfin je pense. »

« Mais toi…t’es là… »

« Moi ? Tu veux que je te mette une fessée ? »

« Je me sentirais certainement moins coupable après en tout cas. »

Sébastien s’assit sur son lit et me tira à lui afin de m’installer en travers de ses cuisses.

Les premières claques étaient plutôt légères et mal assurées mais après une petite dizaine de claques, mon ami s’enhardi et une vraie fessée commença, mes fesses chauffaient malgré le tissu de mon jogging.

Sébastien fit glisser le nylon de mon bas de survêtement le long de mes cuisses avant de l’enlever.

Les claques reprennent sur le coton de mon caleçon qui remonte sur mes cuisses et le haut de mes fesses qui rougissent sous les mains de mon ami.

Les doigts de Fred s’immiscèrent sous l’élastique de l’ultime rempart entre mes fesses et la main de mon ami que constituait mon caleçon afin de lui faire rejoindre mon pantalon sur le sol.

Les claques reprirent de plus belle sur mon derrière nu.

La chaleur de mes fesses se répandit dans mon corps, se concentra dans mon bas-ventre en une sensation étrangement agréable et je ne pus empêcher mon sexe de se redresser malgré la douleur qui me faisait bouger les jambes en mouvements désordonnés.

A force de bouger nu sur les cuisses de mon ami, son short remonta et je pu sentir sa verge érigée contre mon sexe en érection.

Lorsque Frédéric relâcha son étreinte, sa bite dépassait par la jambière droite de son short, droite comme un « i ».

Je pris immédiatement ce sexe en bouche pour le sucer goulûment.

 

« T’as aimé ça apparemment ! » me dit Sébastien.

« Oui » dis-je entre deux succions, « dans ces cas-là, mon père utilise sa ceinture pour me calmer. » lâchais-je.

 

Sur ces mots, mon ami s’empara d’une de ses ceintures et me poussa sur son lit où il me fit mettre à quatre pattes. Le cuir de la ceinture me cingla les fesses à plusieurs reprises malgré mes cris de douleurs, mes fesses me brûlaient atrocement à chaque fois que la lanière de cuir atteignait son but mais je ressentais aussi un plaisir immense presque jouissif.

 

Je sentis le sexe de mon ami à l’entrée de mon anus.

Son gland força mon sphincter lentement, faisant entrer son membre millimètre par millimètre jusqu’à en faire disparaître la moitié dans mon rectum puis je sentis ses mains se serrer sur mes hanches et d’un grand coup de boutoir, il me transperça le cul jusqu’à ce que son ventre ne vienne toucher mes fesses.

 

Fred me claqua le haut des fesses encore une dizaine de fois, sa queue toujours en moi, puis il entreprit de faire quelques va-et-vient, sortant lentement de mon corps pour s’y renfoncer avant que son gland ne sorte.

 

Mon amant m’enculait maintenant sans retenue, son ventre venait claquer sur mes fesses encore chaudes et douloureuses.

Frédéric cessa ses mouvements, se raidit et je sentis son jus épais et chaud se répandre en moi. Il resta en moi encore quelques minutes puis il se retira.

Moi, je me retournai sur le dos et à peine j’eu posé la main sur mon sexe dressé que Fred la remplaça par sa bouche. Je jouis à mon tour, répandant mon foutre dans la cavité buccale de mon ami.

 

Il fut décidé que nous « étudierions » ainsi tous les mercredi après-midi…

Par spankyboy89 - Publié dans : Récit de fessée - Communauté : Fessée en tout genre
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