Dimanche 26 mai 7 26 /05 /Mai 12:46

 

 

 

 

Nous étions en été, pendant les vacances et tous les jours, avec mes amis Paul et Hector, nous prenions nos vélos pour nous balader et jouer dans notre petit village de bourgogne et ses environs. La chaleur se faisait ressentir et nous nous rafraichissions régulièrement à l’eau de la fontaine sur la place principale. Cet après-midi-là, Hector nous attendait au pied de la fontaine et nous accueillit en nous lançant deux bombes à eau, une sur Paul et l’autre sur moi. Nous n’étions pas très contents au début, Paul et moi mais Hector, plié de rire, nous annonça qu’il en avait d’autre dans ses poches.

Après en avoir éclaté un peu partout à travers le village nous décidâmes d’en lâcher du haut du pont surplombant la nationale à la sortie du village.

Nous remplissions chacun un petit ballon d’eau à la fontaine puis l’un après l’autre on lâchait notre ballon sur les voitures passant en dessous de nous.

Il y eu beaucoup de loupé puis quelques camions et voitures de touchés mais très (trop) vite nous arrivâmes à nos dernières munitions.

Je fus le dernier à lancer l’ultime bombe et d’un coup de maître, j’atteignis la voiture cible en plein sur le pare-brise inondant celui-ci comme sous un déluge. J’exultais, me redressant fier d’avoir si bien atteint ma cible si bien que je ne compris pourquoi mes amis avaient sauter sur leurs vélos pour partir en trombe en voyant la voiture reculer jusqu’à la bretelle menant au pont et monter à toute vitesse vers nous que quand celle-ci s’arrêta à mon niveau pour laisser en sortir une jeune femme de vingt-cinq ou trente ans élancée et sportive qui fondit sur moi tel un rapace sur sa proie.

« Ca va pas non, tu te rends compte que j’aurais pu perdre le contrôle de ma voiture et avoir un accident ou que mon pare-brise aurait pu casser sous l’impact ? »

 

Je l’écoutais en rougissant du haut de mes dix ans en réalisant la hauteur de la bêtise et les conséquences que celle-ci aurait pu avoir, sans réaction même quand la jeune femme me courba sous son épaule en me ceinturant de son bras et que les premières claques tombèrent sur mon short recouvrant mes fesses tendues par la position. Par moment sa main atteignait le haut de mes cuisses nues, jusqu’au pli de jonction entre mes cuisses et le bas de mes fesses que le tissu de mon petit short ne couvrait plus.

Je commençais à sentir la douleur et la chaleur envahir mes fesses lorsque la fessée s’arrêta, un court instant, le temps pour la victime de ma bombe à eau de me baisser le short jusqu’aux genoux mais mes gesticulations pour l’en empêcher firent tomber celui-ci au sol. La fessée repris de plus belle sur mon petit slip léger qui ne couvrait que la moitié de mon derrière de plus en plus chaud et douloureux.

Une nouvelle pause mais la femme ne relâche toujours pas son étreinte et je sens ses doigts agrippés l’élastique de mon slip et le tirer vers le bas malgré mes protestations. Sans aucune hésitation mon slip glisse le long de mes cuisses, de mes jambes, franchît mes chevilles et rejoint mon petit short qui gît au sol.

Une nouvelle série de claque s’abat en alternance sur ma fesse gauche puis sur ma fesse droite pour revenir sur les deux en même temps, de haut en bas puis de bas en haut. Ma fesseuse s’applique à me rougir les fesses uniformément sans tenir compte de mes plaintes et revendications.

Je crie, je pleure, je supplie mais rien n’y fait, la main vengeresse continue d’abattre son courroux sur mes deux hémisphères rougies et brûlantes.

Lorsqu’elle me repose enfin par terre, la demoiselle me pousse violemment sur le capot de sa voiture où elle me plie en deux. Elle remonte mon t-shirt qui est retombé sur mes fesses et le fait passer par-dessus ma tête et mes épaules. Je suis entièrement nu devant elle à l’exception de mes sandalettes d’été, le cul déjà bien puni tourné et tendu vers mon charmant bourreau féminin et j’entends un cliquetis métallique dans mon dos suivi d’un bruit de frottement…

 

« Schlak !!! »

 

Une première cinglée vient marquer mes fesses les séparant en deux parties égales et je comprends que c’est le bruit de sa boucle de ceinture et celui du cuir glissant sur son jean que j’ai entendu juste avant et que c’est cette ceinture qui me fouette le derrière sans répit. Une bonne dizaine de fois le cuir viendra mordre la chair tendre de mes fesses endolories avant que la jeune femme me retourne et me fasse promettre de ne plus jamais recommencer.

Je promets entre deux sanglots, mes mains frottant mon derrière cramoisi sans même penser à protéger un minimum ma pudeur en cachant mon intimité à cette inconnue qui me laisse planté là. Elle remonte dans sa voiture et s’en va, moi je me rhabille, essuie mes larmes et rejoins mes amis « lâcheurs » à la fontaine à qui je ne raconte rien de ce qui vient de se passer leur disant simplement que je me suis fait copieusement engueuler sans parler de la correction qui me brûle encore les fesses et surtout pas du plaisir que je ressens à ce moment-là et de ma folle envie de recommencer dès que mes pauvres petites fesses seront remises.

 

 

Par spankyboy89 - Publié dans : Récit de fessée - Communauté : Fessée en tout genre
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