Vendredi 19 avril 5 19 /04 /Avr 22:27

     Croyez-le ou non mais à quatorze ans je n’avais aucune expérience de la fessée. J’étais au dire de mes parents un enfant sage et réservé et mon adolescence commençait sous les mêmes hospices, plutôt bon élève, attentif en classe, poli avec les gens bref un jeune homme sans histoires.

     Un jour en rentrant du collège avec ma mère à travers le petit square en face de chez nous, on entendit un enfant pleurer et aussitôt après la voix d’une mère qui appelait son fils. Celui-ci venait sans doute possible de faire mal au petit garçon qui pleurait mais au lieu de venir vers sa mère qui l’appelait pour la deuxième fois, il tentait de se réfugier sous le toboggan.

      La mère l’attrapa par un bras et l’emmena vers le banc qu’elle venait de quitter. Aussitôt assise elle bascula son rejeton en travers de ses genoux et commença à lui administrer une fessée forte et sonore à tel point qu’on pouvait entendre la main claquer sur le short du gamin alors que nous étions à plusieurs mètres de lui.

     Le petit se mit très vite à crier et à gesticuler sous la fessée crépitante mais sa mère continuait sa besogne sans desserrer son étreinte.

     La main cessa de s’abattre sur le derrière offert mais pas pour longtemps, en effet la mère saisit l’élastique du short et tira d’un coup sec vers les chevilles du malheureux. Le slip fut embarqué avec le short aussi le gamin se trouvait à présent cul nu sur les genoux de sa mère, au milieu du parc, sous les regards amusés de certains, dubitatifs pour d’autres ou encore choqués comme dans mon cas.

     Quand la mère s’arrêta enfin, son fils avait le derrière tout rouge et certainement douloureux. Son visage couvert de larmes devint rouge également lorsqu’il dû affronter les regards des personnes présentent en se reculottant. Il devait réaliser quel spectacle sa mère et lui venaient de nous offrir malgré lui.

 

     Ces images me trottaient encore dans la tête en rentrant chez nous.

 

-          « Le pauvre, je ne sais pas ce qu’il a fait à l’autre enfant mais il a reçu une sacrée fessée. » dis-je en sentant mon visage rougir en disant le dernier mot.

-          « Oui c’est vrai qu’elle n’y a pas été de main morte » confirma ma mère « mais tu sais des fois punir son enfant c’est une façon de lui dire qu’on l’aime. »

-          « Alors tu m’aimes pas ! » lançait-je.

-          « Pourquoi tu dis ça ? » s’étonna ma mère.

-          « Bah tu m’as jamais mis de fessée. » continuais-je.

-          « Parce que tu n’en a jamais eu besoin » répondit ma mère.

-          « Je suis sûr que si t’avais voulu tu aurais trouvé une bonne raison de m’en mettre une. » insistais-je.

-          « Mais arrête avec ça on croirait que t’en veux une » s’agaça ma mère.

 

     Je ne sus quoi répondre et c’est ma mère qui coupa le silence.

 

-          « Ne me dis pas que c’est ça. » reprit ma mère avec un sourire en coin.

-          « Si euh non » balbutiais-je.

-          « Si c’est ce que tu veux, Maman peux mettre la fessée à son grand bébé. » ironisa-t-elle.

-          « N’importe quoi ! » osais-je.

-          « Fais attention quand même à comment tu me réponds parce que je pourrais vraiment t’en mettre une. » me repris ma mère en redevenant sérieuse d’un coup.

-          « Pfff ! à quatorze ans je suis trop grand pour ça » marmonnais-je.

-          « Trop grand… » repris ma mère « tu vas voir si t’es trop grand. »

 

     Sans que je n’aie le temps de réaliser ce qui se passait, ma mère m’agrippa fermement le bras et me bascula en travers de ses genoux après s’être assise sur une chaise au milieu du salon.

     Les premières claques étaient légères et le tissu épais de mon jean me protégeait assez bien pour que cela ne soit pas douloureux.

    Ma mère s’arrêta au bout d’une vingtaine de tapes.

 

-          « Même pas mal !! »

 

    J’eu à peine finis de prononcer ces mots que je le regrettais déjà en voyant le regard noir que me lança ma mère.

    Elle fit sauter d’un coup tous les boutons de mon pantalon qui glissa aussitôt le long de mes jambes pour finir sur mes chevilles.

    Je fus de nouveau mit en place sur les cuisses de ma mère et une nouvelle série de claques tomba en averse sur le coton de mon caleçon. Ça piquait un peu au début puis la sensation de chaleur se répandit dans tout le corps.

    Ma mère continua d’abattre sa main punitive sur mon derrière chauffé qui devint vraiment douloureux. Je me concentrais pour essayer de ne pas laisser transparaître quoique ce soit de mon état mais je ne pus empêcher mes jambes de bouger sous la douleur ni retenir quelques plaintes sonores qui s’échappaient de ma bouche.

    La pluie de claques cessa et je sentis les doigts de ma mère glissés sous l’élastique de mon shorty.

 

-          « Non Maman, pas ça, pas mon caleçon ! » implorais-je.

-          « Tu voulais une fessée, alors tu vas l’avoir et pour être une bonne fessée, ce doit être une fessée cul nu. » m’expliqua ma mère.

 

    Elle ajouta le geste à la parole et mon shorty rejoignit mon pantalon et mes chaussettes, le tout finit par terre en boule.

 

-          « Ouaille !!! » criais-je.

 

    Ce coup-ci les claques étaient vraiment douloureuses mais ma mère resta imperturbable, sourde à mes suppliques, indifférente à ce derrière rouge et brûlant que je lui offrais comme au battement incessant de mes jambes qui essayaient presque malgré moi de me libérer de l’étreinte maternelle et de sa main-battoir.

    La chaleur de mes fesses meurtries commençait à irradier dans tout mon corps, remontant le long de ma colonne vertébral pour redescendre en une sensation étrange au niveau des intestins pour finir dans mon sexe qui se redressait lentement.

    Lorsque ma mère cessa enfin cette première et douloureuse fessée, je me relevais en larmes mais je ne pus dissimuler mon trouble trahi par cette érection qui semblait défier ma mère.

 

-          « Qu’est-ce que ça veut dire, tu n’as pas honte, enlève ton T-shirt et va au coin comme un vilain petit garçon. » ordonna ma mère.

 

    A peine étais-je en place au coin du mur du salon que la porte d’entrée s’ouvrit. C’était mon père qui rentrait du travail.

 

-          « Qu’est-ce qui se passe ici ? » s’enquit-il

-          « Ton fils a voulu tester la fessée mais le résultat est…comment dire…plus qu’inattendu… » résuma ma mère.

-          « En effet ! » constata mon père en s’approchant de moi « mais je dois pouvoir y remédier. » reprit-il en me ployant sous son bras, mes pieds ne touchant presque plus le sol.

 

Les mains de mon père sont plus grandes, plus épaisses et plus lourdes que celles de ma mère, si bien que sa main droite couvre presque toute la surface de mes fesses à chaque fois qu’elle vient s’abattre lourdement sur mon pauvre petit cul sans protection.

Cette deuxième volée fut encore plus douloureuse que la première, mon père semblant se moquer de l’état dans lequel ma mère avait laissé mes fesses suite à la première raclée.

 

J’hurlais sous les coups de battoir de mon père en ruant tant et plus incapable de contrôler les mouvements de mes jambes. Il me semblait sentir la chaleur qui s’échappait de mes fesses cuisantes et rendu ultra-sensible aux claques de mon père mais mon érection refusait toujours de diminuer.

Mon père me lâcha pour me pousser contre l’accoudoir du fauteuil sur lequel je dus me pencher. J’entendis un cliquetis derrière moi et le bruit du cuir glissant sur le tissu du pantalon de mon père.

 

Schlakk !!!!

 

-          « Aoutch !!!...Aïe !!!....Ouille !!!... »

 

Mon père avait enlevé son ceinturon pour me fouetter avec, le cuir semblait s’incruster dans la peau de mes fesses tuméfiées à chaque fois que la langue de cuir les atteignait.

Il semblait prit de frénésie, j’avais l’impression que cela ne cesserait jamais, parfois même certains coups tombaient sur le haut de mes cuisses.

 

-          « Wouaille !!! »

 

Le dernier coup me fit tomber à côté du fauteuil, recroquevillé et tremblant dans un long spasme de jouissance, je venais d’éjaculer au sol sans même avoir à me toucher.

 

Mon père et ma mère m’aidèrent à me relever et me serrèrent dans leurs bras où je pus reprendre mon calme.

 

J’avais quatorze ans, je venais de jouir pour la première fois en prenant ma première fessée qui vous vous en doutez certainement ne fut pas la dernière…

 

Par spankyboy89 - Publié dans : Récit de fessée - Communauté : Fessée en tout genre
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