Lundi 11 janvier 1 11 /01 /Jan 22:07

Thomas est un petit garçon de six ans qui ne fait que des bêtises, entre les sales blagues pas drôles comme dévisser le bouchon de salière ou sonner aux portes des voisins et partir en courant, il tape et mord ses camarades de classe ou son petit frère et sa petite sœur. Bref, Thomas est insupportable et ses parents ne savent plus comment calmer ce petit diable.

 

En ce soir de Noël, dehors la neige a recouvert les toits et les rues, dans le salon, le grand sapin décoré règne en attendant que des cadeaux viennent recouvrir son pied.

 

Il est minuit et après un copieux repas de fêtes, tout le monde est couché en attendant le passage du Père Noël.

 

Les parents de Thomas ont laissé des cookies et un verre de lait chaud au coin de la table pour le brave homme en rouge qui fera sa distribution de cadeaux ce soir.

 

Soudain une petite tête apparaît au coin de la pièce. C’est Thomas qui s’est relevé et qui décide de faire une blague au Père Noël. Il se rend dans la cuisine, attrape la salière et en vide une bonne rasade dans le verre de lait du Père Noël puis il croque chacun des cookies avant de les reposer dans leur assiette. Thomas est fier de son tour et lorsqu’il entend du bruit dans la cheminée et le feu qui chauffait la maison s’éteindre comme par magie, il se cache dans le coin de la cuisine pour observer le Père Noël.

 

Le vieil homme sort ses cadeaux de sa hotte, il place ceux de la petite sœur de Thomas au pied du sapin, pareil pour ceux du petit frère de Thomas et en fait de même pour le papa et la maman de Thomas. Il s’étonne de ne rien avoir pour le petit Thomas aussi fouille-t-il bien au fond de sa hotte mais rien…sauf cette petite enveloppe sur laquelle est écrit « à propos de Thomas ». Le père Noël l’ouvre et lit toutes les bêtises que Thomas a fait cette année, la liste est tellement longue que le vieil homme s’assoit à table, il va pour prendre un cookie et s’arrête en voyant qu’ils sont tous entamés…il prend le verre de lait et commence à boire avec gourmandise mais d’un coup, il recrache le lait en s’écriant « Pouah !!! mais ce lait est salé… »

Thomas sort alors de sa cachette en riant, « je t’ai bien eu Père Noël. »

 

En voyant le jeune garçon rire aux éclats de sa mauvaise blague, le Père Noël comprend qu’il a à faire à Thomas. Son regard s’assombrit, le vieil homme a perdu toute sa bonhommie et se dirige vers le garçonnet.

Thomas a cessé de rire et regarde, apeuré, le Père Noël se rapprocher de lui en retroussant ses manches, ce n’est que la sensation de cette main virile et ferme qui lui enserre l’avant-bras qui le sort de sa torpeur.

 

« Thomas, il est l’heure de payer pour toutes les bêtises que tu as accumulées tout au long de l’année ! » s’exclame le Père Noël en tirant le garçon vers lui pour le caler fermement sous son aisselle gauche.

La main droite du Père Noël vengeur s’abat lourdement sur les fesses tendues du jeune garnement.

Thomas sent que son derrière commence à chauffer sous le tissu de son pyjama et ses premières plaintes traduisent la douleur qu’il commence à ressentir.

Une bonne trentaine de claques sonores se font entendre avant que l’homme ne décide de s’installer sur une chaise. Il repose le garçon qui se pense tirer d’affaire mais d’un coup sec vers le bas, le père Noël fait glisser le pyjama de Thomas sur ses chevilles et lui fait enjamber l’étoffe avant de le réinstaller « cul nu » en travers de ses cuisses.

Les claques reprennent, plus fortes et plus rapides que précédemment, une longue averse qui vient rougir et chauffés copieusement les fesses du petit Thomas.

Le petit tente d’échapper à la punition en se débattant, ruant et agitant ses jambes en vain, il tente d’interposer une main entre ses fesses et la main punitive mais le vieil homme lui attrape et la bloque dans son dos afin de pouvoir corriger le sale gosse pour tous ces méfaits.

 

Lorsque l’homme juge les fesses de Thomas à point, il le relève tout en le retenant d’une main, il se lève à son tour et fouille encore dans sa hotte pour en sortir un martinet au manche en bois verni sur lequel sont fixées neuf longues et fines lanières de cuir.

 

Le père Noël ordonne au petit Thomas de finir d’enlever entièrement son pyjama et le conduit au coin, nu comme un vers.

La main gauche du vieil homme maintien le petit Thomas debout, mains sur la tête pendant que sa main droite abat le martinet en travers des fesses carmin du garçon qui pleure en suppliant son bourreau d’arrêter, promettant d’être sage à présent mais les langues du martinet viennent irrémédiablement mordre les chaires tendres du derrière nu du vilain garçon ou celles plus fermes de ses cuisses.

 

Les cris du jeune Thomas ont réveillé la maison mais lorsque ses parents et ses frère et sœur pénètre dans le salon, ils ont la surprise de voir le garçon nu, au coin, les mains toujours sur la tête, le corps secoué de gros sanglots et les fesses terriblement corrigées.

 

Le Père Noël est reparti, laissant sous le sapin le fameux martinet au nom de Thomas qui après quelques minutes supplémentaires pour reprendre ses esprits se verra contraint de raconter toute cette histoire aux autres membres de sa famille en jurant qu’à partir de maintenant il serait bien sage.

Par spankyboy89 - Publié dans : Récit de fessée - Communauté : Fessée en tout genre
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Dimanche 26 mai 7 26 /05 /Mai 12:46

 

 

 

 

Nous étions en été, pendant les vacances et tous les jours, avec mes amis Paul et Hector, nous prenions nos vélos pour nous balader et jouer dans notre petit village de bourgogne et ses environs. La chaleur se faisait ressentir et nous nous rafraichissions régulièrement à l’eau de la fontaine sur la place principale. Cet après-midi-là, Hector nous attendait au pied de la fontaine et nous accueillit en nous lançant deux bombes à eau, une sur Paul et l’autre sur moi. Nous n’étions pas très contents au début, Paul et moi mais Hector, plié de rire, nous annonça qu’il en avait d’autre dans ses poches.

Après en avoir éclaté un peu partout à travers le village nous décidâmes d’en lâcher du haut du pont surplombant la nationale à la sortie du village.

Nous remplissions chacun un petit ballon d’eau à la fontaine puis l’un après l’autre on lâchait notre ballon sur les voitures passant en dessous de nous.

Il y eu beaucoup de loupé puis quelques camions et voitures de touchés mais très (trop) vite nous arrivâmes à nos dernières munitions.

Je fus le dernier à lancer l’ultime bombe et d’un coup de maître, j’atteignis la voiture cible en plein sur le pare-brise inondant celui-ci comme sous un déluge. J’exultais, me redressant fier d’avoir si bien atteint ma cible si bien que je ne compris pourquoi mes amis avaient sauter sur leurs vélos pour partir en trombe en voyant la voiture reculer jusqu’à la bretelle menant au pont et monter à toute vitesse vers nous que quand celle-ci s’arrêta à mon niveau pour laisser en sortir une jeune femme de vingt-cinq ou trente ans élancée et sportive qui fondit sur moi tel un rapace sur sa proie.

« Ca va pas non, tu te rends compte que j’aurais pu perdre le contrôle de ma voiture et avoir un accident ou que mon pare-brise aurait pu casser sous l’impact ? »

 

Je l’écoutais en rougissant du haut de mes dix ans en réalisant la hauteur de la bêtise et les conséquences que celle-ci aurait pu avoir, sans réaction même quand la jeune femme me courba sous son épaule en me ceinturant de son bras et que les premières claques tombèrent sur mon short recouvrant mes fesses tendues par la position. Par moment sa main atteignait le haut de mes cuisses nues, jusqu’au pli de jonction entre mes cuisses et le bas de mes fesses que le tissu de mon petit short ne couvrait plus.

Je commençais à sentir la douleur et la chaleur envahir mes fesses lorsque la fessée s’arrêta, un court instant, le temps pour la victime de ma bombe à eau de me baisser le short jusqu’aux genoux mais mes gesticulations pour l’en empêcher firent tomber celui-ci au sol. La fessée repris de plus belle sur mon petit slip léger qui ne couvrait que la moitié de mon derrière de plus en plus chaud et douloureux.

Une nouvelle pause mais la femme ne relâche toujours pas son étreinte et je sens ses doigts agrippés l’élastique de mon slip et le tirer vers le bas malgré mes protestations. Sans aucune hésitation mon slip glisse le long de mes cuisses, de mes jambes, franchît mes chevilles et rejoint mon petit short qui gît au sol.

Une nouvelle série de claque s’abat en alternance sur ma fesse gauche puis sur ma fesse droite pour revenir sur les deux en même temps, de haut en bas puis de bas en haut. Ma fesseuse s’applique à me rougir les fesses uniformément sans tenir compte de mes plaintes et revendications.

Je crie, je pleure, je supplie mais rien n’y fait, la main vengeresse continue d’abattre son courroux sur mes deux hémisphères rougies et brûlantes.

Lorsqu’elle me repose enfin par terre, la demoiselle me pousse violemment sur le capot de sa voiture où elle me plie en deux. Elle remonte mon t-shirt qui est retombé sur mes fesses et le fait passer par-dessus ma tête et mes épaules. Je suis entièrement nu devant elle à l’exception de mes sandalettes d’été, le cul déjà bien puni tourné et tendu vers mon charmant bourreau féminin et j’entends un cliquetis métallique dans mon dos suivi d’un bruit de frottement…

 

« Schlak !!! »

 

Une première cinglée vient marquer mes fesses les séparant en deux parties égales et je comprends que c’est le bruit de sa boucle de ceinture et celui du cuir glissant sur son jean que j’ai entendu juste avant et que c’est cette ceinture qui me fouette le derrière sans répit. Une bonne dizaine de fois le cuir viendra mordre la chair tendre de mes fesses endolories avant que la jeune femme me retourne et me fasse promettre de ne plus jamais recommencer.

Je promets entre deux sanglots, mes mains frottant mon derrière cramoisi sans même penser à protéger un minimum ma pudeur en cachant mon intimité à cette inconnue qui me laisse planté là. Elle remonte dans sa voiture et s’en va, moi je me rhabille, essuie mes larmes et rejoins mes amis « lâcheurs » à la fontaine à qui je ne raconte rien de ce qui vient de se passer leur disant simplement que je me suis fait copieusement engueuler sans parler de la correction qui me brûle encore les fesses et surtout pas du plaisir que je ressens à ce moment-là et de ma folle envie de recommencer dès que mes pauvres petites fesses seront remises.

 

 

Par spankyboy89 - Publié dans : Récit de fessée - Communauté : Fessée en tout genre
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Lundi 13 mai 1 13 /05 /Mai 15:21

 

 

 

Nous étions au collège en classe de troisième et nous avions donc 14, 15 ans quand la Prof d’histoire nous annonça qu’elle allait nommer des binômes de travail afin de faire un exposé sur un sujet choisi au hasard sur l’ensemble du programme scolaire abordé cette année.

 

C’est Sébastien qui fût désigné pour être en binôme avec moi aussi nous décidâmes de travailler sur notre exposé dont le sujet tiré au sort était « Jean Moulin et la résistance », le mardi soir après les cours.

 

Après deux bonnes heures de travail on s’accorda une petite pause afin de souffler et de se rafraîchir.

Je profitais de cette pause pour regarder les jeux de console rangés sur les étagères du meuble télé et je demandais à Sébastien si on pouvait se faire une petite partie.

Il hésita un peu puis accepta. Absorbés par le jeu nous ne vîmes pas le temps passé et c’est l’arrivée de la mère de Seb rentrant du travail qui nous sorti du monde virtuel.

 

« Alors les enfants, votre exposé est fini ? » demanda la mère de Sébastien

« Euh…c’est-à-dire que…pas tout à fait. » avoua mon ami.

« Comment-ça ? » s’énerva sa mère, « tu sais que le travail passe avant le jeu.» continua-t-elle

« Oui bien sûr mais on s’accordait juste une pause et on n’a pas vu le temps passé. » s’excusa Sébastien

« Pas d’excuses, tu sais ce que tu mérites en cas de désobéissance ? »

« Oui Maman. » répondit Seb en baissant les yeux

 

Je ne compris pas tout de suite ce qui se passait en voyant la mère de mon ami placé une chaise au milieu du salon et s’asseoir dessus, ce ne fut qu’en voyant mon copain s’approcher de sa mère en regardant ses pieds que je compris ce qui allait se passer même si je ne pouvais croire que mon ami allait recevoir une fessée devant moi à 14 ans et pourtant, je le vis bien se coucher en travers des cuisses de sa mère.

Sans attendre, les premières claques tombèrent sur le pantalon de survêtement de mon pote et le moins que l’on puisse dire c’est que même si elle ne paie pas de mine avec son corps de femme, cadre dynamique d’une quarantaine d’année, d’un mètre soixante-quinze pour soixante kilos, la mère de mon pote ne ménageait pas ses efforts et les claques tombaient fortes et rapides.

Je fus encore plus surpris lorsque sa mère entreprit de faire glisser le bas de survêtement de mon ami jusqu’au milieu de ses cuisses avant de reprendre la fessée sur le tissu léger du shorty de son fils.

Les claques remontaient le tissu du caleçon et je pouvais apercevoir un peu de peau rougie sur le haut des cuisses et le bas des fesses de mon pote.

Autant dire que je restais bouche bée lorsque je vis la mère de mon pote se saisir de l’élastique du caleçon de son fils pour lui faire rejoindre le bas de jogging et finir par ôter complètement les deux étoffes.

Mes yeux se fixèrent un moment sur les fesses glabres et musclées de mon ami qui se remit à gémir sous la main punitive maternelle.

Je pouvais également apercevoir ses testicules plaqués contre la cuisse de sa mère et sa queue qui semblait être aussi raide que la mienne.

Sébastien ne pouvait s’empêcher de bouger les jambes sous les coups de sa mère et ses mouvements désordonnés me dévoilait son entre fesse sans aucun poil ainsi que l’anneau plissé de son anus fermé.

 

Le calme revint d’un coup dans la pièce, mon ami glissa des genoux de sa mère, se frotta les fesses puis se releva avant de ramasser ses vêtements et de se rhabiller ce qui me permis de vérifier que cette fessée avait mis la verge de mon ami au garde à vous tout comme la mienne que je sentais essayer de craquer les épaisseurs de tissus qui la recouvraient afin de jaillir au grand jour.

 

Nous remontâmes travailler encore un peu mais la concentration tardait à me revenir, mon esprit restait bloquer sur ce qui venait de se passer et le trouble m’envahi, perdu entre l’envie d’être à la place de mon ami et la peur d’avoir mal.

 

Voyant bien que je n’étais plus avec lui par la pensée, c’est Sébastien qui décida qu’il était temps de s’arrêter.

 

« Ecoute,  je ne sais pas ce que t’en penses, mais vaudrait mieux continuer demain après-midi si tu peux. »

 

Rendez-vous fût donc pris pour le lendemain, mercredi, à 14h00.

 

Cette image de Sébastien en travers des genoux de sa mère ne cessait d’envahir mes pensées et le sommeil se refusait à moi. Je tournais dans mon lit, cherchant la position qui m’aiderait à m’endormir mais la fessée m’obsédait, qu’avait-il ressentit exactement entre le plaisir visible à sa  queue dressée et la douleur indéniable vu la couleur et la chaleur de ses fesses.

A force de bouger avec ces idées dans ma tête, je sentis ma bite se dresser dans mon pyjama et je ne résistais pas à l’envie de me masturber qui me donnait des fourmis dans les mains. Je baissais mon pyjama, repoussais les draps au pied du lit et en quelques va-et-vient sur ma verge érigée je crachais mon jus épais et gluant sur mon ventre.

 

Le lendemain midi, après le collège, je rentrai chez moi pour manger puis j’allai rejoindre Seb chez lui.

 

Sébastien m’ouvrit la porte, il avait revêtu sa tenue d’intérieur, petit short de sport et T-shirt, pieds nus. Je me déchaussai dans l’entrée et le suivi dans sa chambre. Son petit short laissait apparaître les traces encore visible de sa fessée d’hier aussi je ne pus m’empêcher de remettre ça sur le tapis.

 

« Je voulais te dire, pour hier, je suis vraiment désolé que ça se soit passé comme ça. »

« Oh, t’inquiète pas c’est rien, ce n’est pas ma première. »

« Non je me doute mais ça avait l’air de faire mal. »

« Oui bien sûr sinon ça ne servirait à rien et puis je l’avais mérité.

 « Oui peut-être mais on était deux dans ce cas. »

« Comment ça ? »

« Bah oui on était deux à jouer à la console et tu es le seul à avoir été puni »

« Pourquoi tu dis ça ? t’aurais aimé en prendre une ? »

« Non, enfin euh… si, peut-être, disons que ça aurait été plus juste. »

« Ma mère n’a surement pas osé, elle ne te connait pas mais t’auras qu’à lui demander quand elle va rentrer, elle ne te dira pas non, enfin je pense. »

« Mais toi…t’es là… »

« Moi ? Tu veux que je te mette une fessée ? »

« Je me sentirais certainement moins coupable après en tout cas. »

Sébastien s’assit sur son lit et me tira à lui afin de m’installer en travers de ses cuisses.

Les premières claques étaient plutôt légères et mal assurées mais après une petite dizaine de claques, mon ami s’enhardi et une vraie fessée commença, mes fesses chauffaient malgré le tissu de mon jogging.

Sébastien fit glisser le nylon de mon bas de survêtement le long de mes cuisses avant de l’enlever.

Les claques reprennent sur le coton de mon caleçon qui remonte sur mes cuisses et le haut de mes fesses qui rougissent sous les mains de mon ami.

Les doigts de Fred s’immiscèrent sous l’élastique de l’ultime rempart entre mes fesses et la main de mon ami que constituait mon caleçon afin de lui faire rejoindre mon pantalon sur le sol.

Les claques reprirent de plus belle sur mon derrière nu.

La chaleur de mes fesses se répandit dans mon corps, se concentra dans mon bas-ventre en une sensation étrangement agréable et je ne pus empêcher mon sexe de se redresser malgré la douleur qui me faisait bouger les jambes en mouvements désordonnés.

A force de bouger nu sur les cuisses de mon ami, son short remonta et je pu sentir sa verge érigée contre mon sexe en érection.

Lorsque Frédéric relâcha son étreinte, sa bite dépassait par la jambière droite de son short, droite comme un « i ».

Je pris immédiatement ce sexe en bouche pour le sucer goulûment.

 

« T’as aimé ça apparemment ! » me dit Sébastien.

« Oui » dis-je entre deux succions, « dans ces cas-là, mon père utilise sa ceinture pour me calmer. » lâchais-je.

 

Sur ces mots, mon ami s’empara d’une de ses ceintures et me poussa sur son lit où il me fit mettre à quatre pattes. Le cuir de la ceinture me cingla les fesses à plusieurs reprises malgré mes cris de douleurs, mes fesses me brûlaient atrocement à chaque fois que la lanière de cuir atteignait son but mais je ressentais aussi un plaisir immense presque jouissif.

 

Je sentis le sexe de mon ami à l’entrée de mon anus.

Son gland força mon sphincter lentement, faisant entrer son membre millimètre par millimètre jusqu’à en faire disparaître la moitié dans mon rectum puis je sentis ses mains se serrer sur mes hanches et d’un grand coup de boutoir, il me transperça le cul jusqu’à ce que son ventre ne vienne toucher mes fesses.

 

Fred me claqua le haut des fesses encore une dizaine de fois, sa queue toujours en moi, puis il entreprit de faire quelques va-et-vient, sortant lentement de mon corps pour s’y renfoncer avant que son gland ne sorte.

 

Mon amant m’enculait maintenant sans retenue, son ventre venait claquer sur mes fesses encore chaudes et douloureuses.

Frédéric cessa ses mouvements, se raidit et je sentis son jus épais et chaud se répandre en moi. Il resta en moi encore quelques minutes puis il se retira.

Moi, je me retournai sur le dos et à peine j’eu posé la main sur mon sexe dressé que Fred la remplaça par sa bouche. Je jouis à mon tour, répandant mon foutre dans la cavité buccale de mon ami.

 

Il fut décidé que nous « étudierions » ainsi tous les mercredi après-midi…

Par spankyboy89 - Publié dans : Récit de fessée - Communauté : Fessée en tout genre
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Vendredi 19 avril 5 19 /04 /Avr 22:27

     Croyez-le ou non mais à quatorze ans je n’avais aucune expérience de la fessée. J’étais au dire de mes parents un enfant sage et réservé et mon adolescence commençait sous les mêmes hospices, plutôt bon élève, attentif en classe, poli avec les gens bref un jeune homme sans histoires.

     Un jour en rentrant du collège avec ma mère à travers le petit square en face de chez nous, on entendit un enfant pleurer et aussitôt après la voix d’une mère qui appelait son fils. Celui-ci venait sans doute possible de faire mal au petit garçon qui pleurait mais au lieu de venir vers sa mère qui l’appelait pour la deuxième fois, il tentait de se réfugier sous le toboggan.

      La mère l’attrapa par un bras et l’emmena vers le banc qu’elle venait de quitter. Aussitôt assise elle bascula son rejeton en travers de ses genoux et commença à lui administrer une fessée forte et sonore à tel point qu’on pouvait entendre la main claquer sur le short du gamin alors que nous étions à plusieurs mètres de lui.

     Le petit se mit très vite à crier et à gesticuler sous la fessée crépitante mais sa mère continuait sa besogne sans desserrer son étreinte.

     La main cessa de s’abattre sur le derrière offert mais pas pour longtemps, en effet la mère saisit l’élastique du short et tira d’un coup sec vers les chevilles du malheureux. Le slip fut embarqué avec le short aussi le gamin se trouvait à présent cul nu sur les genoux de sa mère, au milieu du parc, sous les regards amusés de certains, dubitatifs pour d’autres ou encore choqués comme dans mon cas.

     Quand la mère s’arrêta enfin, son fils avait le derrière tout rouge et certainement douloureux. Son visage couvert de larmes devint rouge également lorsqu’il dû affronter les regards des personnes présentent en se reculottant. Il devait réaliser quel spectacle sa mère et lui venaient de nous offrir malgré lui.

 

     Ces images me trottaient encore dans la tête en rentrant chez nous.

 

-          « Le pauvre, je ne sais pas ce qu’il a fait à l’autre enfant mais il a reçu une sacrée fessée. » dis-je en sentant mon visage rougir en disant le dernier mot.

-          « Oui c’est vrai qu’elle n’y a pas été de main morte » confirma ma mère « mais tu sais des fois punir son enfant c’est une façon de lui dire qu’on l’aime. »

-          « Alors tu m’aimes pas ! » lançait-je.

-          « Pourquoi tu dis ça ? » s’étonna ma mère.

-          « Bah tu m’as jamais mis de fessée. » continuais-je.

-          « Parce que tu n’en a jamais eu besoin » répondit ma mère.

-          « Je suis sûr que si t’avais voulu tu aurais trouvé une bonne raison de m’en mettre une. » insistais-je.

-          « Mais arrête avec ça on croirait que t’en veux une » s’agaça ma mère.

 

     Je ne sus quoi répondre et c’est ma mère qui coupa le silence.

 

-          « Ne me dis pas que c’est ça. » reprit ma mère avec un sourire en coin.

-          « Si euh non » balbutiais-je.

-          « Si c’est ce que tu veux, Maman peux mettre la fessée à son grand bébé. » ironisa-t-elle.

-          « N’importe quoi ! » osais-je.

-          « Fais attention quand même à comment tu me réponds parce que je pourrais vraiment t’en mettre une. » me repris ma mère en redevenant sérieuse d’un coup.

-          « Pfff ! à quatorze ans je suis trop grand pour ça » marmonnais-je.

-          « Trop grand… » repris ma mère « tu vas voir si t’es trop grand. »

 

     Sans que je n’aie le temps de réaliser ce qui se passait, ma mère m’agrippa fermement le bras et me bascula en travers de ses genoux après s’être assise sur une chaise au milieu du salon.

     Les premières claques étaient légères et le tissu épais de mon jean me protégeait assez bien pour que cela ne soit pas douloureux.

    Ma mère s’arrêta au bout d’une vingtaine de tapes.

 

-          « Même pas mal !! »

 

    J’eu à peine finis de prononcer ces mots que je le regrettais déjà en voyant le regard noir que me lança ma mère.

    Elle fit sauter d’un coup tous les boutons de mon pantalon qui glissa aussitôt le long de mes jambes pour finir sur mes chevilles.

    Je fus de nouveau mit en place sur les cuisses de ma mère et une nouvelle série de claques tomba en averse sur le coton de mon caleçon. Ça piquait un peu au début puis la sensation de chaleur se répandit dans tout le corps.

    Ma mère continua d’abattre sa main punitive sur mon derrière chauffé qui devint vraiment douloureux. Je me concentrais pour essayer de ne pas laisser transparaître quoique ce soit de mon état mais je ne pus empêcher mes jambes de bouger sous la douleur ni retenir quelques plaintes sonores qui s’échappaient de ma bouche.

    La pluie de claques cessa et je sentis les doigts de ma mère glissés sous l’élastique de mon shorty.

 

-          « Non Maman, pas ça, pas mon caleçon ! » implorais-je.

-          « Tu voulais une fessée, alors tu vas l’avoir et pour être une bonne fessée, ce doit être une fessée cul nu. » m’expliqua ma mère.

 

    Elle ajouta le geste à la parole et mon shorty rejoignit mon pantalon et mes chaussettes, le tout finit par terre en boule.

 

-          « Ouaille !!! » criais-je.

 

    Ce coup-ci les claques étaient vraiment douloureuses mais ma mère resta imperturbable, sourde à mes suppliques, indifférente à ce derrière rouge et brûlant que je lui offrais comme au battement incessant de mes jambes qui essayaient presque malgré moi de me libérer de l’étreinte maternelle et de sa main-battoir.

    La chaleur de mes fesses meurtries commençait à irradier dans tout mon corps, remontant le long de ma colonne vertébral pour redescendre en une sensation étrange au niveau des intestins pour finir dans mon sexe qui se redressait lentement.

    Lorsque ma mère cessa enfin cette première et douloureuse fessée, je me relevais en larmes mais je ne pus dissimuler mon trouble trahi par cette érection qui semblait défier ma mère.

 

-          « Qu’est-ce que ça veut dire, tu n’as pas honte, enlève ton T-shirt et va au coin comme un vilain petit garçon. » ordonna ma mère.

 

    A peine étais-je en place au coin du mur du salon que la porte d’entrée s’ouvrit. C’était mon père qui rentrait du travail.

 

-          « Qu’est-ce qui se passe ici ? » s’enquit-il

-          « Ton fils a voulu tester la fessée mais le résultat est…comment dire…plus qu’inattendu… » résuma ma mère.

-          « En effet ! » constata mon père en s’approchant de moi « mais je dois pouvoir y remédier. » reprit-il en me ployant sous son bras, mes pieds ne touchant presque plus le sol.

 

Les mains de mon père sont plus grandes, plus épaisses et plus lourdes que celles de ma mère, si bien que sa main droite couvre presque toute la surface de mes fesses à chaque fois qu’elle vient s’abattre lourdement sur mon pauvre petit cul sans protection.

Cette deuxième volée fut encore plus douloureuse que la première, mon père semblant se moquer de l’état dans lequel ma mère avait laissé mes fesses suite à la première raclée.

 

J’hurlais sous les coups de battoir de mon père en ruant tant et plus incapable de contrôler les mouvements de mes jambes. Il me semblait sentir la chaleur qui s’échappait de mes fesses cuisantes et rendu ultra-sensible aux claques de mon père mais mon érection refusait toujours de diminuer.

Mon père me lâcha pour me pousser contre l’accoudoir du fauteuil sur lequel je dus me pencher. J’entendis un cliquetis derrière moi et le bruit du cuir glissant sur le tissu du pantalon de mon père.

 

Schlakk !!!!

 

-          « Aoutch !!!...Aïe !!!....Ouille !!!... »

 

Mon père avait enlevé son ceinturon pour me fouetter avec, le cuir semblait s’incruster dans la peau de mes fesses tuméfiées à chaque fois que la langue de cuir les atteignait.

Il semblait prit de frénésie, j’avais l’impression que cela ne cesserait jamais, parfois même certains coups tombaient sur le haut de mes cuisses.

 

-          « Wouaille !!! »

 

Le dernier coup me fit tomber à côté du fauteuil, recroquevillé et tremblant dans un long spasme de jouissance, je venais d’éjaculer au sol sans même avoir à me toucher.

 

Mon père et ma mère m’aidèrent à me relever et me serrèrent dans leurs bras où je pus reprendre mon calme.

 

J’avais quatorze ans, je venais de jouir pour la première fois en prenant ma première fessée qui vous vous en doutez certainement ne fut pas la dernière…

 

Par spankyboy89 - Publié dans : Récit de fessée - Communauté : Fessée en tout genre
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